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Peasantry --- Land tenure --- Notaries --- History --- History. --- Peasants --- France [Southern ] --- Agriculture --- Economic aspects --- 17th century --- 18th century --- Peasantry - France, Southern - History - Sources. --- Land tenure - France, Southern - History. --- Notaries - France, Southern - History.
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NOTAIRES --- FRANCE --- CONDITIONS SOCIALES --- 18E SIECLE
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Appuyé sur un vaste corpus de recherches récentes, Médecine et médecins à Toulouse au siècle des Lumières présente un tableau inédit de l’essentiel des activités médicales de la capitale languedocienne à une époque charnière de cette discipline : – les anciennes théories sont toujours en vigueur mais de plus en plus de spécialistes s’interrogent sur leur validité ; – en dépit de multiples tentatives, personne n’est encore en mesure de proposer une alternative globale, suffisamment solide pour recueillir le consensus du monde savant. Dans ce contexte de tâtonnements, l’université conserve de l’attractivité mais a du mal à s’imposer face à sa rivale montpelliéraine. La création de l’Académie des sciences est un stimulant pour les expériences prometteuses en chirurgie, obstétrique ou électrothérapie, dans lesquelles s’illustrent quelques novateurs de talent. Mais la santé n’intéresse pas que les hommes de l’art. Les capitouls en font un axe fort de leur politique municipale. Ils se préoccupent de l’hygiène publique, veillent à préserver la population des épidémies et administrent les établissements hospitaliers qui tendent à se spécialiser dans les soins aux plus démunis. La médecine du temps des Lumières, si elle n’est pas encore une authentique « médecine des Lumières » a cependant posé des jalons décisifs qui ont préparé la révolution médicale du siècle suivant. À côté de celle de Paris ou de Montpellier, la participation de Toulouse à ce moment de progrès et de maturation scientifiques trouve enfin, grâce à cet ouvrage collectif qui associe praticiens et historiens, la place qu’elle mérite.
History --- médecine --- Lumières --- université
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Si les animaux ont bien une histoire, ce domaine de la recherche historique demeure encore aujourd’hui peu exploré. Dans le cadre du C.R.Hi.S.M. et des journées scientifiques du Pôle Européen (Montpellier), Marie-Claude Marandet s’est entourée d’une équipe pluridisciplinaire de chercheurs pour lever un pan du voile qui recouvre ce sujet essentiel pour la compréhension du passé. En diversifiant les points de vue et en privilégiant une approche diachronique, cet ouvrage témoigne de la fécondité de cet objet d’investigation à part entière qu’est l’animal. Au travers de 10 contributions, de nombreux éclairages inédits sont ainsi offerts au lecteur. Il semble que l’on gère très tôt les ressources animales : ainsi, l’augmentation de la taille des bovins au XIIIe siècle, notée par les archéozoologues, peut s’expliquer par de possibles échanges commerciaux apportant des animaux plus grands, mais aussi par une transformation des animaux locaux, obtenue, par exemple, par une reproduction plus tardive des femelles. Le bétail apparait dans les textes normatifs comme destructeur potentiel de récoltes : on lui interdit une partie du finage et, même, à Toulouse, au XVIIIe siècle, les propriétaires de chiens doivent les tenir attaches au temps des vendanges pour empêcher qu’ils n’aillent dans les vignes manger les raisins. L’animal est, très tôt, considère comme une source de pollution, de maladies, on insiste sur les nuisances, les accidents liés à sa présence et on interdit même parfois l’élevage familial. Des coutumes du XIIIe siècle règlementent la qualité des viandes et abats proposes sur les marches, sujet toujours d’actualité.
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Tracts, affiches, prospectus, pamphlets… Nombreux sont les éphémères qui accompagnent les événements collectifs, qu’il s’agisse de manifestations officielles, de crises politiques et religieuses, ou de simples faits divers. Mais les éphémères scandent aussi les événements de l’existence individuelle et quotidienne : bons points, images pieuses, menus, faire-part constituent autant de jalons qui façonnent notre mémoire et associent la vie privée aux rites sociaux. Comment les éphémères s’articulent-ils à l’événement politique, artistique, culturel ou familial ? En sont-ils la trace, le reflet, ou ce qui contribue à le construire comme tel ? Dans quelle mesure nous permettent-ils de mettre en rapport une histoire de l’événement et une histoire du quotidien ? Quelle valeur peuvent prendre, loin de leur contexte d’origine, ces documents qui en sont si fortement tributaires ? Telles sont les questions qui rassemblent ici des spécialistes venus d’horizons variés (conservateurs, chercheurs en lettres, histoire et histoire de l’art) pour montrer combien les éphémères ponctuent nos vies. Ce volume est publié dans le cadre du programme de recherche PatrimEph – La patrimonialisation des éphémères, soutenu par la Fondation des Sciences du Patrimoine.
Printed ephemera - History and criticism --- Books and reading - Social aspects --- Special events - Publishing --- Publications éphémères --- Printed ephemera --- History --- Special events --- History and criticism. --- In mass media. --- histoire --- histoire de l'art --- histoire des médias --- médias --- littérature --- Books and reading
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Les femmes, dans la société roussillonnaise et catalane d’Ancien Régime, ne sont pas vouées à une vie de soumission et de violences, condamnées à l’inaction ou la passivité. Loin de subir les événements elles deviennent actrices de leur destin dès que l’opportunité s’offre à elles. Les toutes jeunes filles sont certes vulnérables mais devenues de jeunes femmes, elles savent défendre leurs droits, notamment en cas de rupture de promesse de mariage. Aspirant à occuper la place que toute femme ambitionne selon les moeurs de l’époque, elles sont promptes à sauvegarder leur honneur pour accéder au mariage. Elles ne sont alors pas abandonnées à leur sort, estant en justice avec l’accord d’un proche, généralement leur père, voire accompagnées ou représentées par lui. L’étroitesse des liens familiaux, souvent perçue comme une pesanteur se mue en solidarité protectrice. Les représentations religieuses de la femme ne rendent pas compte de la place qu’elle occupe dans le siècle ni en justice et esquissent les traits de femmes idéalisées. La perfection est incarnée par celles qui se vouent à Dieu mais le plus souvent les oeuvres d’art ornant les églises roussillonnaises retracent les étapes de la vie de bonnes chrétiennes ayant fondé une famille. Epouses et mères attentionnées, elles sont dépeintes comme dévotes au moment de recevoir leurs sacrements. Cependant, les femmes portent à tout jamais la culpabilité du péché originel que véhicule l’Eglise catholique et qui imprègne l’inconscient collectif. Elles pâtissent d’une réputation de tentatrice peu compatible avec le statut de victime. Les juges peinent à les reconnaître comme des victimes totalement innocentes dans les affaires de moeurs. Les criminelles sont d’ailleurs bien identifiées, notamment lorsqu’il s’agit d’empoisonneuses.
Women's Studies --- femmes --- conditions sociales --- droit
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Depuis deux décennies, l'histoire des institutions policières et celle des migrations ont été fortement renouvelées. Le renouvellement de l'histoire des institutions policières a intéressé aussi bien les historiens que les juristes ou les sociologues, voire les professionnels de l'ordre public. Parallèlement, l'avènement comme champ de recherche à part entière de l'histoire de l'immigration et des étrangers en France a enrichi de questionnements inédits l'étude des populations mobiles, déjà fortement revivifiée par de nombreux travaux sur les sociétés rurales ou urbaines. Par la force des choses, ces deux histoires ne cessent de se croiser. Le souci du maintien de l'ordre confronté aux problèmes posés par une société de plus en plus mobile rencontre, à travers la relation police-migrants, un enjeu essentiel. La circulation et l'installation massive des étrangers sur le territoire français à partir de la fin du XIXe siècle, au moment de la consolidation du l'État national, constitue un paramètre important de la modernisation des institutions au sein de l'État-nation. À partir de là, interroger de façon spécifique le terrain où se rencontrent ces deux historiographies dynamiques est apparu comme une démarche féconde et nécessaire, puisqu'elle n'avait jamais été systématiquement conduite. Une trentaine de spécialistes de l'histoire des migrations et de la police, historiens, juristes et sociologues, confrontent leurs analyses dans cet ouvrage qui espère constituer une étape majeure dans l'évolution d'un vaste chantier aux implications très actuelles.
History of France --- anno 1600-1699 --- anno 1700-1799 --- anno 1800-1999 --- Emigration and immigration law --- Police power --- Admission of nonimmigrants --- Emigration et immigration --- Police --- Admission des étrangers --- History --- Congresses --- Droit --- Histoire --- Congrès --- Pouvoirs --- France --- Emigration and immigration --- Government policy --- Politique gouvernementale --- Admission des étrangers --- Congrès --- Congresses. --- Social Issues --- Sociology --- émigration et immigration --- migration --- droit --- histoire de France --- histoire des institutions --- politiques publiques --- accueil des étrangers --- police --- pouvoir politique
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L’antiquité gréco-romaine a voulu mettre en harmonie les outils de la vie quotidienne et le bon fonctionnement du corps humain : les réflexions d’Hippocrate sur l’art urbain aboutissent de la sorte à des seuils de rationalité pour le peuplement des villes. Au Moyen Âge, une police des ressources apparaît dans les différentes communautés : les municipalités urbaines militent pour la pureté des eaux, tandis que les collectivités montagnardes s’approprient des territoires où toutes les subsistances coutumières sont disponibles. Avec l’élan démographique des époques modernes et contemporaines, la manière de penser le cadre de vie est globalisée : les pestes du xviiesiècle, les disettes régionales du xviiiesiècle, le choléra du xixesiècle, tous ces fléaux poussent à la médicalisation étatique de la vie matérielle, qu’il s’agisse de la nourriture, de l’hygiène ou des remèdes. D’ailleurs, dans la France de 1900, le corps médical est devenu un récepteur de considération politique. En montrant comment la prévention du malheur est progressivement devenue une affaire d’état, après avoir nourri les morales communautaires, le présent volume analyse les discours qui ont pris une option sur l’organisation du quotidien. Il les examine à travers leurs origines, leurs évolutions, leurs contradictions et leurs réalisations.
Public health --- City planning --- Santé publique --- Urbanisme --- History --- Congresses. --- Histoire --- Congresses --- administration --- politique --- environnement --- maladie --- urbanisme --- histoire --- médecine --- santé --- représentation --- corps --- Europe méridionale
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